Entre le ralentissement des ventes et l’évolution des attentes des consommateurs, les domaines viticoles doivent aujourd’hui repenser leur stratégie commerciale.
La vente directe s’impose comme un levier de croissance incontournable : elle a progressé de plus de 30 % en cinq ans et offre jusqu’à trois fois plus de marge que les circuits traditionnels. En moyenne, elle représente entre 10 et 25 % du chiffre d’affaires d’un domaine.
Et les salons peuvent à eux seuls générer jusqu’à 50% de ventes supplémentaires. Encore faut-il avec la bonne méthode pour faire de chaque salon, une opportunité de renforcer sa relation client et d’augmenter ses revenus.
C’est ce que nous verrons ensemble le 22 octobre.