Les erreurs à éviter dans la facturation viticole (et comment les corriger)

Dans un domaine viticole, la facturation n’est pas qu’une formalité comptable. C’est le cœur de la relation commerciale, celui qui garantit un encaissement fluide, une conformité légale et une image professionnelle solide. Pourtant, de nombreuses exploitations continuent de perdre du temps (et parfois de l’argent) à cause d’erreurs évitables : doublons, oublis de mentions légales, erreurs de millésime, ou encore taux de TVA mal appliqués.

Dans cet article, nous faisons le point sur les erreurs les plus fréquentes en facturation viticole, leurs conséquences et les solutions concrètes pour les corriger.

Oublier les mentions légales obligatoires

C’est l’une des erreurs les plus répandues. Selon la DGFiP, une facture doit comporter un ensemble de mentions obligatoires : identité complète du vendeur et de l’acheteur, numéro SIRET, numéro de facture, date, désignation du produit, quantité, prix unitaire HT, taux et montant de TVA, conditions de paiement, etc.

Dans le secteur viticole, s’ajoutent parfois des mentions spécifiques (appellation, millésime, lot, conditionnement, etc.) importantes pour la traçabilité. Leur absence peut entraîner des rejets comptables ou un redressement fiscal en cas de contrôle.

Comment corriger :

Centralisez vos modèles de facture dans un logiciel de facturation viticole qui intègre automatiquement ces mentions et réduit le risque d’oubli.

Avec Wineriz, chaque facture est générée à partir de vos fiches produits, déjà conformes aux mentions légales et métiers du vin.

Mal appliquer le taux de TVA

Entre les ventes en France, à l’étranger ou les franchises de TVA pour certains producteurs, les erreurs de taux sont fréquentes. Une simple inattention peut générer une facture non conforme, une erreur de déclaration et, in fine, une perte de crédibilité auprès du client.

Selon la réglementation, la TVA applicable sur les vins est généralement de 20 %, mais certaines opérations peuvent bénéficier d’exonérations (ventes intracommunautaires, exportations, ou franchise en base pour les petits producteurs).

Comment corriger :

Utilisez un outil capable de gérer automatiquement les règles de TVA selon le type de client, la destination ou le statut fiscal.

Wineriz détecte automatiquement les bons taux et mentionne les régimes de TVA applicables sur chaque ligne de facture.

Créer des doublons ou factures incohérentes

Lorsqu’on saisit ses factures à la main, le risque d’erreurs de numérotation, de doublons ou de ressaisie augmente. Et quand la facturation est gérée sur plusieurs supports (Excel, papier, ou différents logiciels), cela devient vite un casse-tête.

Résultat : des incohérences, des écarts de trésorerie, et parfois des retards d’encaissement.

Comment corriger :

Automatisez la génération et la numérotation des factures depuis un logiciel unique connecté à votre CRM viticole.

Avec Wineriz, chaque facture client est liée à sa commande et au stock correspondant : plus aucun doublon possible.

Se tromper sur les millésimes, produits ou désignations

Un “Chardonnay 2023” transformé en “Chardonnay 2022” sur la facture, et c’est tout un lot à corriger manuellement. Ces erreurs de désignation sont fréquentes, surtout lorsque les informations sont ressaisies manuellement depuis le chai ou la boutique.

Comment corriger :

Travaillez sur une base produit centralisée, avec synchronisation automatique entre les ventes, le stock et la facturation.

Wineriz relie directement vos factures à vos fiches produits et vos millésimes. La cohérence des données est garantie.

Négliger l’archivage et la conservation des factures

En France, les factures doivent être conservées pendant 10 ans (article L.123-22 du Code de commerce). Pourtant, beaucoup d’exploitations ne sauvegardent pas leurs documents de façon sécurisée ou utilisent encore des dossiers locaux fragiles.

Comment corriger :

Adoptez un archivage numérique sécurisé, avec sauvegarde automatique et horodatage.

Wineriz conserve chaque facture dans un espace dédié et garantit leur conformité en cas de contrôle fiscal.

Ne pas anticiper la facturation électronique (réforme 2026-2027)

À partir du 1ᵉʳ septembre 2026, toutes les entreprises devront être capables de recevoir des factures électroniques. Et à partir de 2027, la plupart devront aussi les émettre.
Ce changement majeur, défini par l’article 289 bis du CGI, va transformer la gestion comptable des domaines viticoles.

Comment corriger :

Préparez-vous dès maintenant en choisissant une solution conforme à la facturation électronique.

Wineriz est déjà conçu pour cette transition : format structuré, horodatage, intégration comptable et archivage conforme aux exigences légales.

Wineriz : la solution pour une facturation viticole fluide et conforme

La facturation n’a pas à être une corvée administrative. Lorsqu’elle est automatisée, elle devient un véritable levier de performance commerciale.

Avec Wineriz, vous bénéficiez :

• d’une centralisation complète des données client, stock et facturation,
• d’une émission automatique conforme à la réglementation,
• d’un suivi en temps réel de vos paiements et encaissements,
• et d’une traçabilité totale sur vos lots et millésimes.

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Checklist express des erreurs à éviter

• Oublier une mention légale obligatoire
• Mal appliquer un taux de TVA
• Créer des doublons de factures
• Confondre millésimes ou lots
• Négliger l’archivage
• Ignorer la réforme 2026

FAQ | Facturation viticole : les questions fréquentes